d-did, did i stutter?

Sujet: d-did, did i stutter? Mer 23 Juil - 3:53

when you are ready, i will surrender, take me and do as you will. have what you want, your way's always the best way. i have succumbed to this passive sensation, peacefully falling away... i am the zombie, your wish will command me, laugh as i fall to my knees.

look – son cœur s’était littéralement arrêté de battre une fraction de secondes. Trois mois qu’il était ici, trois mois qu’il se forçait à monter et descendre ces foutus douze étages – douze, vous avez bien compris – et tout ça parce qu’il n’avait pas le choix. Ou du moins, c’était ce qu’il croyait. Jusqu’à il y avait de cela environ trois minutes, lorsque ses yeux s’étaient figés vers l’affiche coloré, sur lequel s’affichaient trois caractères : 승강기. sang. geung. gi. Ah tiens, il avait appris ce mot, aujourd’hui, auprès d’un de ses camarades. Ascenseur. Il plissa d’abord les yeux, puis un sourire amer vint dessiner ses lèvres alors qu’il suivait du regard la direction que pointait la flèche. Puis il avança, suivant ladite direction, jusqu’à se retrouver devant une porte qui lui semblait familière. Non, pas besoin d’un baccalauréat pour deviner que c’était une porte d’ascenseur. Le garçon resta figé un long moment devant cette dernière, avant d’entendre un ting sonore qui le fit sursauter et lui causa un rire nerveux. Quel con, quel con. Toutes ces calories dépensées, tout ce temps à faire du sport involontairement, à partir cinq minutes en avance pour les cours alors qu’il aurait pu juste… prendre l’ascenseur. Il frappa dans le vide, pivota sur lui-même, pris une grande inspiration, et entrepris de s’éloigner de l’ascenseur. Parce qu’évidemment, il venait de descendre les marches de l’enfer une dernière fois avant de remarquer l’ascenseur. Mais au bout de quelques pas, il s’arrêta, puis réfléchit. Avait-il réellement un besoin urgent de quitter son cocon de solitude ? Pas tellement. Maintenant qu’il y pensait, l’idée de prendre ce foutu ascenseur et de crier victoire était tentante. Tellement tentante. Juste pour l’essayer, au moins une fois, avant de foutre le camp et d’errer sans raison dans la ville, à la recherche d’une vie sociale dont il n’était même pas certain avoir envie. Un dernier soupir, un roulement d’yeux, et simon appuyait frénétiquement sur le bouton de l’ascenseur, les yeux grands ouverts en attendant son arrivée, comme s’il venait de découvrir un nouveau joujou très intéressant.

« parfait… » marmonna-t-il, l’air satisfait, lorsqu’il s’infiltra pour la première fois dans l’ascenseur. il eut l’impression de respirer pour la première fois lorsque son regard se posa vers les boutons numérotés, ses poumons de s’emplir d’oxygène enfin. Certes, certes… simon était lâche. Mais qu’importait, à présent. Son index se pressa sur chacun des boutons – du premier étage jusqu’au douzième – et il pressa finalement celui permettant de faire fermer la porte, s’appuyant contre la paroi la plus reculée, figeant cette fois son regard vers le cadran numérique lui indiquant les étages. Et à chacun d’entre eux, il croisait le regard de gens qu’il ne connaissait pas, ou alors faisait face à un étage complètement vide. Premier, deuxième, troisième, quatrième… ainsi de suite, jusqu’à ce que son cœur fasse un nouveau loop dans sa cage thoracique, et il croisa le regard d’un garçon – jeune homme ? – qu’il reconnaissait. Physiquement, seulement, ou pratiquement, mais c’était déjà suffisant. Il fut figé un moment, complètement paralysé, puis entrouvrit les lèvres dans l’espoir de lui glisser un mot mais les pinça presque instantanément l’une contre l’autre. Pourquoi parler ? Qu’est-ce qu’il lui prenait de toute façon ? Il baissa automatiquement la tête et se décala vers la droite, tentant de résister et de compter dans sa tête, mais il n’y arrivait pas, et aussitôt qu’il put sentir sa présence, il leva juste assez la tête pour le regarder du coin de l’œil dans une tentative de discrétion un peu ratée. Il restait encore quatre étages à faire, et il ne comptait ni sortir à l’un d’entre eux… ni sortir avant de retrouver le premier étage à nouveau.. Misère. Il allait forcément devoir sortir au prochain étage et se taper toutes les marches encore… juste pour la forme, quoi. « a-ahh, je… pardon… le pas bon sens… p-pas -le- bon sens... m’suis trompé. » balbutia-t-il dans un coréen haché et dénudé de sens, tentant d’expliquer le fait que les étages restants étaient tous sélectionnés. Bravo, simon. Ça fait tellement de sens. Pourquoi ne pas juste se défoncer la tête contre un mur déjà, finalement ?

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Sujet: Re: d-did, did i stutter? Mar 29 Juil - 2:04

D-DID, DID I STUTTER?

alias les tribulations d'un ascenseur défectueux avec han simon mots 736

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Pas qu’il s’emmerdait, mais il allait rentrer.
C’était qu’il avait lâché à son ami en quittant sa chambre des résidences. Évidemment, c’était vraiment parce qu’il s’emmerdait. Mais, aussi incroyable que ça ait pu paraitre d’un point de vue extérieur, il lui arrivait d’être poli, et il n’avait surtout pas envie de se mettre les quelques amis qu’il avait à dos. Ce serait malheureux, déjà qu’il avait brillamment réussi à perdre ceux de Busan suite à de fâcheux événements dont il était plus ou moins responsable. Mieux valait mentir sur les raisons de son départ, donc, et il s’avérait qu’il était plutôt doué pour ça, mentir… Ça venait avec l’expérience, voyez-vous. Quelques faux avis par ici, d’autres mensonges bénins par-là, et vous deveniez aisément un véritable pro de la supercherie. Quoique, maintenant, il s’appliquait à dire la vérité toute crue… La plupart du temps. Refermant derrière lui après avoir salué tout le beau monde qui s’entassait dans le minuscule appartement de son pote, il prit un chemin qu’il connaissait bien : celui de l’ascenseur. Évidemment, comme il était presque toujours dans ce fichu bâtiment, ses connaissances étant surtout des étudiants, Woo Seok entretenait une belle relation avec l’engin miracle, qui lui évitait de se taper les escaliers – et il y en avait, des marches à gravir.

Une fois devant les portes closes, il appuya sur le bouton d’un air las, attendant patiemment l’arrivée de la machine. À en juger d’après l’écran lumineux qui indiquait l’étage atteint, juste en haut de l’entrée, la cabine s’arrêtait à tous les étages… Hm, plutôt inhabituel, car elle n’était pas si utilisé en temps normal. En tout cas, ça la retardait un truc de fou, à un tel point que notre cher Cheong se demanda un moment si l’escalier ne serait pas une alternative préférable, malgré son aversion face à celui-ci. Heureusement, un ding caractéristique lui annonça que l’élévateur était arrivé, prêt à l’accueillir. Il s’y engouffra donc, rejoignant un jeune homme qui devait avoir son âge, ou presque, et qui semblait particulièrement mal-à-l’aise de sa présence. Hm, sentait-il mauvais ? Non, il avait pris une douche la matin-même, comme à tous les jours… Tant pis, de toute façon, ils n’auraient qu’un bref moment à partager, et le calvaire apparent de l’inconnu prendrait fin dès que l’un des deux sortirait. Sentant le regard de l’autre posé sur lui, Woo fit bien gaffe de ne pas lui porter attention, ses yeux sombres se dirigeant plutôt vers le panneau où tous les étages apparaissaient... Panneau qui lui apprit qu’ils se rendraient jusqu’au douzième avant de pouvoir redescendre. Ah, voilà qui confirmait ses doutes de tout à l’heure.

D’ailleurs, à ce propos, son compagnon de cabine balbutia une phrase dont il eut du mal à saisir le sens tant le langage utilisé était massacré et son ton de voix, peu assuré. Mauvais sens ? Il en doutait. De toute façon, il n’en avait pas grand-chose à faire de ce que le jeune homme pouvait raconter… Tout ce qu’il voulait, c’était sortir d’ici et rentrer chez lui. Woodstock se contenta donc de grogner un bref « hm-hm », visiblement très désintéressé du discours du pauvre garçon. Appuyant un peu brusquement sur le bouton qui ordonnait aux portes de se refermer, il se recula un peu, alors que l’ascenseur se mettait en route avec un craquement peu rassurant. Ce dernier s’immobilisait d’ailleurs un bref instant plus tard, après avoir parcouru une distance beaucoup trop courte pour… Ah, vraiment ?

- Merde…

Ses doigts vinrent appuyer désespérément sur le bouton d’ouverture, sans succès. Suivirent une flopée de jurons les plus diversifiés les uns que les autres que, vu la maîtrise douteuse de la langue qu’il avait, l’inconnu ne devait même pas saisir à moitié. Super. Non seulement il était coincé ici, mais il l’était avec un étranger qui, bien que pas désagréable à regarder, arrivait à peine à placer deux mots cohérents ensemble… Et ce, pour Dieu seul savait combien de temps encore. Misère. Y avait-il au moins une fonction d’urgence dans cet engin de malheur ? Oui, un bouton rouge, sur lequel il pesa. Rien ne sembla se passer, ou alors, il n’en eut pas conscience. Soupirant exagérément, Wooseok se pencha pour s’asseoir dans le coin de la cabine, ne voyant aucun intérêt à rester debout. Il était définitivement de mauvaise humeur et non, il n’avait rien à dire à celui qu’il tenait responsable de leur mésaventure.

Sujet: Re: d-did, did i stutter? Ven 1 Aoû - 2:26

d-did, did i stutter?

when you are ready, i will surrender, take me and do as you will. have what you want, your way's always the best way. i have succumbed to this passive sensation, peacefully falling away... i am the zombie, your wish will command me, laugh as i fall to my knees.

Du coin de l’œil. Il avait eu le temps de poser son regard vers ses yeux, son nez, puis la jolie forme de sa bouche et de constater qu’il était encore plus attirant de près avant de réaliser que ‘du coin de l’œil’ ne l’était plus tellement, règle non-écrite. Ne jamais fixer le garçon directement, pas d’aussi près en tous cas, et lui adresser la parole le moins possible. Non parce qu’il n’avait pas envie de lui parler – au contraire – mais parce qu’il savait que sa nervosité finirait par le rattraper et qu’il ne ferait que débiter et débiter des paroles sans savoir s’arrêter. Puis sa réaction, de toute façon… il avait encore plus envie de se frapper la tête contre un mur. Un faible soupir s’échappa d’entre ses lèvres et il baissa la tête, le rouge teintant ses joues brûlant de plus belle après son ‘hm hm’ plutôt désintéressé. C’était clair, il n’avait pas envie d’être en sa présence. Bon, ce n’était pas comme si c’était la première fois qu’il se sentait indésirable ou carrément dérangeant, mais il ne put s’empêcher d’avoir un faible pincement au cœur en se disant qu’il avait raté sa chance. Non pas qu’il avait envie de le draguer – dieu non, il ne savait même pas comment faire ça – ou qu’il ait pensé recevoir des avances de la part de l’autre garçon, mais s’il avait déjà eu un très – et on dit bien très – faible doute à ce sujet, ledit garçon venait confirmer une part de ces doutes. S’il avait envie de creuser plus loin ? Il n’en avait absolument aucune idée, et franchement, il n’en était pas du tout à ce point, mais voilà que le destin faisait les choses bien étrangement : et comme pour confirmer ça aussi, l’ascenseur sembla se bloquer dans sa lancée, et bientôt, il fut immobile. Il prit un moment avant de comprendre et il y eut un trou dans l’espace temporel entre le moment où l’autre s’acharnait sur la commande d’ouverture des portes et celui où il s’assoyait dans un coin, et si la panique tardait à venir chez simon, son cœur battait déjà un peu rapidement alors qu’il comprenait ce qu’il se passait. Une panne d’ascenseur ? L’engin était-il si vieux qu’il l’avait surmené en voulant visiter tous les étages possibles ? C’était vraiment de sa faute ? Il ravala sa salive, nerveusement, et ton son corps se tendit. Son regard passa du cadran affichant toujours l’étage inférieur, puis du garçon, aux boutons de l’appareil encore et enfin au garçon une dernière fois.

« c’est pas possible… » marmonna-t-il, en anglais cette fois. Non. C’était franchement pas possible. Il avait déjà assez honte comme ça pour qu’en plus il doive se taper une panne. Il fronça les sourcils et s’approcha de la porte, la scrutant, comme s’il pouvait trouver un moyen de l’ouvrir. Il tendit d’ailleurs la main vers cette dernière, l’arrêtant à mi-chemin seulement lorsqu’il réalisa que ça ne faisait aucun sens. Et même si, par il ne savait quel miracle, il arrivait à l’ouvrir – bien, oui, mais à quoi ça servait ? il n’y aurait qu’un mur de brique devant ses yeux, et ça ne les avancerait pas plus. Ses bras retombèrent donc lourdement le long de son corps et un long silence s’installa dans la cabine. Un long silence qui se prolongea jusqu’à ce qu’il ose se tourner vers lui, les poings serrés. « p-p… pardon. » marmonna-t-il, s’enfonçant encore plus dans le ridicule. Il passa une main au travers de sa tignasse rousse, n’osant pas bouger, encore moins se rapprocher de lui. Il ne le connaissait pas, après tout. Pas trop, en tous cas. Bien qu’il n’avait en rien l’air d’un homme violent ou bien d’un criard, on n’était jamais trop prudent – surtout pas dans la peau de simon. « il est bloqué, hein ? » bravo, captain obvious. Il secoua la tête et tenta de se rattraper. « on devrait appeler la police ? non ? » demanda-t-il bêtement, cette fois. Pourquoi pas ? C’était une situation d’urgence, après tout, non ? Si l’ascenseur ne se débloquait jamais, ils pouvaient forcément y crever. Est-ce qu’il y avait seulement de la sécurité dans les résidences ? « ou on pourrait… d’accord, je la ferme. » et avec ces mots, il se recula de quelques pas pour se laisser tomber par terre, au coin opposé où s’était assied l’autre garçon, ramenant ses genoux contre son corps et le fixant toujours avec ce même air con et incrédule.

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Sujet: Re: d-did, did i stutter? Mar 12 Aoû - 5:00

D-DID, DID I STUTTER?

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Lui qui avait hâte de rentrer, il aurait mieux fait de rallonger un peu son séjour dans la chambre de son ami… Parce que maintenant, il en avait pour un moment à attendre, et il parlait par expérience : en effet, chanceux comme il était, c’était la deuxième fois de son existence que Wooseok se retrouvait coincé dans l’une de ces fichues machines. Vraiment, quelques mésaventures du genre de plus, et il contacterait les records Guinness pour qu’on le mentionne comme étant le garçon le plus malchanceux ever. Peut-être que ça lui rapporterait un peu de fric… Ça payait bien, se retrouver dans ce palmarès ? Hm, il n’en savait trop rien. Il vérifierait en arrivant chez lui, tiens. S’il y arrivait un jour, bien sûr, parce que pour l’instant, c’était mal parti. Quel con il faisait tout de même, d’avoir absolument tenu à prendre l’ascenseur. S’il s’était écouté et qu’il avait changé pour les escaliers, il serait déjà sorti, en route vers son appartement… Mais non, évidemment, il avait ce talent particulier pour faire les pires choix de tout l’univers. Alors voilà, victime de son destin, il avait les fesses posées dans le coin d’une cabine immobile, obligé de patienter pour qu’on les sorte de là tous les deux, lui et son colocataire d’ascenseur. Have fun, Woo Seok.

D’ailleurs, celui avec qui il partageait l’espace laissa entendre quelques mots, qui n’étaient pas du tout coréens. Ah, un angloche… Voilà pourquoi il avait du mal avec la langue du pays. Probablement un étudiant en échange… Ou peut-être un touriste ? Quoiqu’il voyait mal ce qu’on voyageur viendrait faire dans les résidences de l’Université d’Incheon, mais bon, sait-on jamais. Il se demandait d’où il venait… Son accent ne faisait pas très anglais, bien que notre jeune Cheong ne soit pas bien spécialiste en terme d’accents. Peut-être des States ? Ou alors du Canada. La question devrait être posée s’il voulait en obtenir la réponse, mais pour l’instant, il était encore trop sur les nerfs. Lorsque le jeune homme lui tourna le dos pour faire face à la porte close, les yeux sombres de Woody se posèrent sur lui, scrutant ses gestes. Allait-il vraiment tenter d’ouvrir ? Était-il seulement au courant que, advenant le cas où il y arriverait, il ne trouverait devant lui qu’un mur ? Ça ne les avancerait pas beaucoup…

Comme s’il avait lu dans les pensées du grand brun, l’étranger arrêter son geste en plein milieu pour s’immobiliser totalement, jusqu’à finalement se retourner vers Woo en s’excusant, visiblement mal de la situation. Bon, d’accord, il semblait sincère, et il ne l’avait certainement pas fait exprès. Puis, il avait le cœur de lui offrir ses excuses, bien que rien ne prouvait qu’il était le responsable de tout ça... Les lèvres du serveur demeurèrent closes, néanmoins, son regard toujours dardé sur le rouquin. Ce dernier souleva une question – à laquelle il ne répondrait pas -, puis une deuxième, qui eut le mérite d’arracher un sourire amusé à Wooseok.

- La police ? Ne sois pas ridicule, ils ont bien mieux à faire. Les gens doivent déjà avoir remarqué que c’est bloqué, ‘faut attendre qu’ils réparent ce qui a fait défaut. J’espère que t’es patient, ça risque de prendre un bout encore.

Sur ces sages paroles, le jeune homme laissa sa tête retomber contre le mur de la cabine, ses yeux quittant la silhouette qui venait de s’asseoir dans le coin opposé pour se poser au plafond… Avant de revenir vers le jeune anglophone lorsque celui-ci reprit la parole :

- On pourrait… ?

Peu de choses l’horripilaient plus que les gens qui commençaient des phrases sans jamais les finir, vraiment… Ah, il y avait les gens qui le dévisageaient aussi, et c’était précisément ce que son interlocuteur était en train de faire. Légèrement agacé, il garda cependant le silence, jusqu’à ce qu’il réalise que l’autre n’avait aucune intention de cesser ses observations abusives.

- Quelque chose ne va pas ?

Lui demanda-t-il soudainement, soutenant son regard. Peut-être avait-il un immense bouton sur le nez ? Ew. Il serait vraiment moche, dans ce cas. Et il ne voulait pas être moche, il se devait d’être wow. Par simple précaution, cependant, il leva une main pour lui faire traverser sa crinière chocolat, effleurant discrètement le bout de son nez. Tout semblait normal… Alors quoi ? Avait-il peur de lui ? Pf, lui qui était si avenant et chaleureux depuis tout à l’heure…

- J’vais pas t’manger hn, crains pas.

Sujet: Re: d-did, did i stutter?